Cette intervention réalisée par le Dr Sarfati, chirurgien plasticien oncologue en décembre 2015, permet de positionner l’incision au niveau de l’aisselle la rendant ainsi beaucoup moins visible. Toutefois, cette technique reste réservée à des patientes ayant des tumeur de petite taille ainsi qu’à celles ayant une prédisposition génétique. D’ici deux ans, 35 patientes pourraient être opérées en utilisant cette nouvelle technique.

Retrouvez les informations concernant cette première mondiale ici, et l’article du Parisien d’hier.